de l'animal totem à la bête informatique

DE  l'ANIMAL    TOTEM
                               A   LA  BÊTE  INFORMATIQUE











      Je m'appelle Pierre Rimbas. Je suis, ou plutôt, j'étais informaticien, spécialisé dans les
  systèmes experts  et l'intelligence artificielle.
      Je crois que l'informatique est un terrible danger pour l'humanité, un danger méconnu, et
  je voudrais vous expliquer en quoi consiste ce danger. Pour cela, je vais vous raconter une
  expérience vécue à l'âge de 28 ans.     L'expérience que je relate ici, et les prises de
  conscience qui ont suivi, ont bouleversé ma vision du monde et ont changé ma vie. Cela m'a
  fait voir que nous vivons une époque de guerre, une guerre invisible oti le camp de bataille
  est la conscience humaine et où les armes sont des bombes  psychiques. L'informatique joue
  un rôle de premier plan dans cette guerre. A la suite de ces expériences, j'ai radicalement
  changé pour un mode   de vie plus respectueux de la nature et de l'être spirituel qui habite en
  moi.
      En 1988, ayant juste terminé mes études, je travaillais pour le compte d'une société
  informatique qui développait un système d'intelligence artificielle ayant pour but de prédire
  le  comportement  des incendies de forêt. J'étais délégué par cette société à Montréal, pour
  mettre au point un logiciel avec des spécialistes des incendies. Profitant de quelques jours de
  vacances  avant mon retour à Paris, j'avais souscrit avec mon épouse à un circuit découverte
  des territoires du Nord, incluant la visite des réserves indiennes.
      Au bord du Lac Saint Jean,  dans la réserve indienne de Mashteuiatsh près du village de
  Pointe-Bleue , on peut visiter un des très rares musées de la culture amérindienne créé et
  administré par une des nations amérindiennes, les Montagnais. Ce  musée présente  la «
  conquête » de  l'Amérique du Nord non  pas du point de vue des colons français, mais de celui
  de ses premiers habitants,les amérindiens, et la différence est de taille !
      Les Montagnais,  amérindiens du  Nord  du Saint Laurent, s'appellent eux même iinus ou
  iinuatsh, ce qui veut dire « être humain ». Leur sobriquet de Montagnais (ou montagnards)
  leur vient des colons français du 16è siècle, parce qu'ils , venaient de leurs territoires de
  montagnes  pour vendre les fourrures. C'est un des seuls peuples amérindiens à avoir
  toujours essayé de maintenir la paix avec les envahisseurs, à avoir obtenu un statut territorial,
  et à s'être très rapidement mélangé aux. Français en apprenant leur langue.
      Depuis le 17e siècle, les mariages mixtes Français - Montagnais étaient courants, alors
  qu'ils sont toujours restés exceptionnels chez les Indiens des Plaines d'Amérique du Nord.
  Erreur fatale pourtant car malgré leurs intentions pacifiques les Montagnais ont été décimés,
  et sur les 150 à 200 000 du 17e siècle, il ne reste que 2000 représentants, habitant
  pratiquement tous sur le petit territoire de PointeBleue. Peut être à cause de cette
  cohabitation séculaire, le Saguenay Lac Saint jean est une des très rares régions où l'état
  fédéral canadien autorise sans trop de censure la présentation du génocide organisé des
- amérindiens,  et donc où les quelques rescapés de la :nation parlent le plus directement du
  mode  de vie traditionnel de leurs ancêtres.
      La visite du musée de Pointe Bleue faisait partie du circuit organisé. C'est là que j'apprit
  que deux  frères, membres du Conseil de Bande  du  peuple Montagnais rencontraient
  activement les français et désiraient échanger sur les modes de vie traditionnels de leurs
  peuples respectifs (1).

     On nous indiqua un lieu de rendez vous, et le nom d'une personne qui, m'assura-t-on,
nous  attendrait. Le 11 Juin de cette année, nous nous trouvions donc en pleine forêt sur les
rives de la rivière Ashupmushuan, à une centaine de kilomètres au  Nord du lac Saint jean,
dans la Province de  Saguenay. Les paysages étaient magnifiques et ressemblaient beaucoup à
ceux du  film « Le dernier Trappeur ». Mais en Juin, toute la région est infestée de légions
d'insectes piqueurs, et suceurs, des maringouins, des mouches  à daim et des moustiques
affamés, et je commençais à  me   demander sérieusement quel genre de vacances j'allais
passer là
     La rivière Ashupmushuan (là où on chasse l'orignal) parcourt plus de 200 kilomètres en
pleine forêt sauvage, traversant des gorges, des cascades et des lacs. Après avoir cherché
plusieurs heures avec notre voiture de location, nous avons finalement trouvé le chemin de
terre où nous attendait, pas trop impatient malgré notre retard, la personne que l'on nous
avait indiquée.
   C'était un  monsieur d'un certain âge, mais souriant et plein d'énergie, vêtu d'un jean,
d'une veste en laine à carreaux rouges et d'une casquette, et parlant français tout à fait
couramment.    Appelons le monsieur  G.
Les présentations, faites, nous avons visité le campement traditionnel de tentes chauffées par
des petits poêles à bois et de quelques cabanes en rondins reconstruites à chaque saison . A
cette latitude, il fait vraiment froid, et le thermomètre descend largement sous zéro même en
juin.
En entrant dans la cabane de Mr G., notre surprise fut grande de voir, suspendue face à
l'entrée, une croix cathare à branches égales de la région de Toulouse. Ce symbole m'était
familier, car je connais bien les régions du sud de la France habitées au 13eme siècle par les
hérétiques albigeois. Mais je ne parvenais pas à m'expliquer sa présence au fin fond, du
Nord  Canadien.
     Mr G. nous présenta  le mode de vie traditionnel amérindien, où l'union avec la nature,
la chasse et la spiritualité se mélangent étroitement. Les jours qui suivirent, j'appris les
rudiments  de la vie en milieu sauvage, la confection d'outils de base en utilisant la gomme du
sapin baumier, et beaucoup d'autres choses intéressantes.
Nous  discutions tard, le soir, devant un feu ou à la lumière des bougies. Mr G. nous parlait
des actions administratives qu'il était obligé d'entreprendre continuellement pour protéger les
territoires traditionnels de ses ancêtres, menacés par l'avidité des compagnies d'exploitation
forestières et les usines de pâte à bois. Bien que toute la région soit déclarée comme
patrimoine naturel du Canada et réserve fédérale, des pans de  montagne entiers étaient
coupés à blanc, au mépris de toute légalité, entraînant des déséquilibres terribles pour la
faune et la flore. Mr G. organisait avec ses frères et ses enfants des coupes forestières
dirigées pour essayer de contrer ,ces déboisages massifs, se débattant dans des complexités
administratives épouvantables. Souvent, il avait été tenté de simplement passer dans
l'illégalité, comme le font souvent les amérindiens, vivant de braconnage et de contrebande,
mais il voulait absolument garder le contact avec les autorités afin de faire passer son
enseignement  aux  hommes   blancs.
     Un soir, Mr G. nous confia que pour lui, il existe une relation secrète entre les hérétiques
Albigeois  du Sud de la France et les Nations amérindiennes. Le rituel de la tente de sudation,
le calumet, et surtout la danse du Soleil, sont des rites symboliques provenant de la même
source que les symboles solaires du Graal  que l'on voit, encore peints sur les parois de
grottes en Ariège. Les Cathares et les 'Templiers étaient dépositaires du plus grand secret du
moyen  âge, le Graal. C'est par le Graal que la mort était anéantie et que leur était conférée la
vie. Les Templiers connaissaient l'existence du continent américain bien avant Christophe
Colomb,    ils en avaient exploré une bonne partie avant 1200, et Mr G. nous assura qu'il
existe  encore, dans des vallées perdues, des vestiges de leur présence. Les amérindiens ont
eux  aussi révélation des mystères de la vie et de la mort, mystères qu'ils doivent transmettre
à l'occidental avant qu'il ne soit trop tard. Car la civilisation actuelle, pleine de suffisance et
d'égoïsme, utilise sans les respecter ni les comprendre les forces magiques de la nature. La
nature est bienveillante et pleine de patience. Mais elle ne laissera pas impunément détruire

ses sanctuaires, et la réaction entraînera dans sa chute la civilisation de l'homme blanc toute
entière. C'est d'ailleurs une prophétie amérindienne célèbre du peuple Hopi, mise en scène
par   Godfrey Reggio dans sa trilogie filmée des Qatsi.
    Après un  moment il en vint au sujet de la quête- de la vision. Chaque chose dans le
monde fait partie du Grand Esprit. La quête de la vision est l'acte fondateur du chemin
spirituel, car elle mène au pouvoir spirituel. La personne en quête d'une vision, quittait le
campement  et partait pendant 4 jours au cours desquels elle devait jeûner et prier, espérant
recevoir un signe divin. Ce signe vient souvent sous la forme d'un animal, d'un oiseau, d'un
rocher ou d'un arbre. Archie Fire Lame Deer  raconte dans l'histoire de sa, vie, « Le cercle
sacré » plusieurs quêtes de vision, dont certaines sont assez cocasses. La quête de vision est
un  processus individuel, la vision donnée à un homme  est différente de celle qu'un autre
recevra, car c'est le Grand Esprit qui donne lui même la vision. Pour Mr G, c'est ainsi que les
Cathares du 13e, siècle parvenaient  à la vraie connaissance, une connaissance directe, par
révélation intérieure. II nous expliqua que les nombreux liens tissés avec l'Occitanie dans le
sud  de la France s'étaient concrétisés par des échanges de terrain en pays cathare. Une autre
fraternité du XIIIeme siècle, les Bogomiles, ont été chassés de la Bulgarie et de la Hongrie
par des persécutions, et ont du à partir du XVe siècle émigrer dans le Grand Nord Canadien
où ils vivent encore aujourd'hui comme  des  petites communautés   autonomes. Mr G. et ses
amis entretenaient des contacts avec ces petites communautés. Il nous. assura qu'elles
gardaient encore actuellement leur mode de vie et leurs rituels du XIIe siècle.
    La veille de notre départ, après que Mr G et sa femme nous aient aimablement  souhaité
une  bonne nuit autour d'une tisane, nous allâmes nous coucher dans une des tentes, sur un
matelas  confortable et odorant de branches de sapinette fraîchement cueillies, très
agréablement  chauffés  par le petit poêle, et je m'endormis rapidement. Vers les deux heures
du matin, je me  réveillai, parfaitement lucide, avec une forte envie de sortir de la tente pour
marcher en forêt. La nuit était d'une clarté cristalline, les étoiles comme des étincelles de
feu. Alors qu'il faisait près de moins dix degrés, je ne ressentais pas du tout le froid. Après
une marche  dont je ne puis dire si elle fut longue ou courte, j'arrivai au dessus d'un lac dont
la surface parfaitement immobile  reflétait la poussière lumineuse de la voie lactée. Je
m'assis au pied d'un grand sapin baumier. Presque  immédiatement, je fus pris
d'hallucinations. Je vis à ma surprise apparaître devant moi des faces animales, d'abord, en
rapide succession, puis l'une après l'autre : une tête d'orignal, la face blanche d'une chouette
effraie, le mufle entouré de bois d'un grand cerf, le bec d'un grand aigle blanc, les bajoues
d'un castor, un lynx, etc, tous apparaissant juste devant mes yeux, jetant, sur moi des regards
curieux, parfois interrogateurs, jamais méchants. J'avais le sentiment très net de passer un
examen.  Je me  dis que je devais rêver. Je ne suis pas un médium, je n'ai aucun don pour le
chanelling ou la voyance, et je suis très méfiant envers tout ce que des soi disant « esprits»
pourraient nous  transmettre. Je crois que la plus grande partie des impressions et visions ne
sont que la conséquence d'un  dérèglement du système glandulaire, mis à profit par des
charlatans et des parasites. Devant ces visions, me parvenant en pleine conscience, j'essayai
de trouver une solution rationnelle. Après quelques minutes, les visions disparurent. Je
n'avais reçu aucun « message  » de l'au-delà, aucune « mission » ni rien de cette sorte.
Aucune   des  formes animales n'avait parlé. Nous devions partir, tôt le lendemain matin, et je
ne  pus demander à   Monsieur G. la signification de ces visions.
     Le circuit touristique organisé nous ramena à Montréal, après un bref séjour à Tadoussac,
d'où l'on peut observer baleines et bélougas remontant le Saint Laurent. Mais, au cours des
semaines  qui suivirent, je ressentis des changements dans ma vie intérieure. Une sensibilité
particulière aux milieux naturels se développait en moi. Je vivais comme l'ouverture d'un
sixième sens. Après  deux ou  trois mois; je pouvais sentir la présence proche de tout animal
sauvage  avec une quasi certitude. En me  promenant  en  campagne avec  mes amis, je les
surprenais en allant débusquer lapins, souris et perdrix. Progressivement, à cette nouvelle
faculté s'ajoutait un sens intérieur de l'appartenance du territoire; Me tenant sur un terrain, je
puis dire à qui il appartient réellement, et si ses véritables habitants sont présents ou non.
Dans la nature,  le territoire est le signe de l'interdépendance d'une espèce à une autre. Au

début, je ne prêtais pas beaucoup d'importance à ces sensations qu'un bout de terrain
appartenait à ùne famille de sangliers ou à un grand cerf et sa harde de biches. Mais au bout
d'environ un an, je percevais avec précision tous les maillons des chaînes écologiques, des
petits mulots aux grands prédateurs.
    Je commençais  à  percevoir la terre elle-même, et les véritables propriétaires des endroits
où  je me tenais comme de  petits êtres invisibles habitant dans le sous sol. Je me
souvenais de Monsieur  G.  des légendes qu'ils nous racontait, de ce géant que, nous disait il,
son père avait vu bondissant d'un rocher à un autre, en plein milieu des rapides, là où la
rivière Ashapmushuan  est la plus sauvage.
    Je percevais de  nombreux êtres invisibles qui semblaient habiter dans des cavités ou des
couloirs sous la terre. L'impression était déconcertante, parce que je ne pouvais percevoir
précisément les contours  de ces êtres ni dire exactement à quoi ils ressemblaient. Ces êtres
semblaient  habiter de préférence dans les rochers. La structure de leurs atomes doit être
différente de la notre, car ils traversent les roches les plus dures sans aucune difficulté.
J'appris, petit à petit, que ces petits êtres, habitants des roches, ne voient pas le monde
comme   nous. Ils ne perçoivent ni le ciel, ni l'horizon, mais leur monde s'arrête à la limite des
rochers. Ils ont une grande sensibilité pour les roches dans lesquelles ils vivent. Les
minéraux  et les métaux  contenus dans les roches sont pour eux comme une  atmosphère, et
cela crée des émotions en  eux. Pour cette raison, ils recherchent par-dessus tout les filons
métalliques  et les oxydes minéraux qui lés entourent. Toutes les variétés de sels métalliques
sont pour eux une nourriture et un enseignement. Ils connaissent ainsi parfaitement tous les
minéraux  et pierres semi-précieux résultant du mélange des métaux dans la croûte terrestre.
C'est pour eux un enseignement  très précis, par lequel ils parviennent à une connaissance
élevée des  mystères de la vie. Leur préférence va aux métaux précieux, l'or, l'argent, le
cuivre, mais ils accordent une importance particulière à l'antimoine. Ils ressentent la présence
des humains, mais les villes les font fuir. Surtout, ils ne supportent pas les structures en
béton  armé, car le mélange du calcaire et des armatures en acier leur donne l'impression d'un
horrible vacarme. Ils perçoivent les humains, mais nous leur semblons incroyablement
stupides parce que nous  cherchons à connaître la nature avec des chiffres et des calculs, alors
qu'eux comprennent     immédiatement. Ces petits êtres détiennent la solution de problèmes
mathématiques   sur lesquels des générations d'humains ont planché, et pour eux c'est très
simple parce que  la solution leur apparaît immédiatement. Il y a très longtemps, avant que
l'homme   ne se décerne lui  même le titre de maître du monde, on communiquait avec les
petits êtres invisibles en dressant des pierres levées près d'une source. Je retrouvai mention
de  leur existence dans d'innombrables contes et légendes, comme les contes de Grimm,  où
vivent de petits êtres invisibles, gnomes, trolls ou Kobolds..
    Je passais des périodes de plus en plus longues de ma vie en pleine nature, à l'extérieur
des villes. Je percevais les petits êtres comme les véritables propriétaires de la terre. Je pris
l'habitude de passer la nuit dehors, au contact de la terre.
Après  un an et demi, j'obtins de ma société, l'autorisation de travailler à partir de mon
domicile, et nous déménageâmes   à la campagne,  loin de tout béton armé...
    J'appris encore beaucoup de choses sur  la culture amérindienne, et surtout que la
 « vision»  des animaux  guides était bien connue. Les  animaux d'une espèce sont tous guidés
par un esprit groupe, l'animal totem. C'est l'esprit groupe qui apparaît aux humains dans des
rêves  ou des visions pour essayer de lui dire ou de lui apprendre quelque chose. Les
amérindiens les ont toujours représentés sur les totems. Mais, avec la civilisation, les totems
ne servent plus qu'à indiquer là où se trouve un restaurant de la chaîne Bufalo Grill.
    A  l'âge de 32 ans, je fus atteint par, une grave pneumonie, et dus rester plusieurs semaines
alité. J'avais beaucoup de fièvre malgré le traitement. Pendant cette maladie, je commençais
à  percevoir que l'outil de mon métier, l'ordinateur, composé de minéraux et de cristaux, était
lui aussi, habité par des êtres, mais d'une nature très différente.

Ces êtres ressemblent à des araignées et des chauve souris monstrueuses. Ces visions
cauchemardesques    ne me quittaient plus, et je décidai de changer radicalement d'orientation
et de commencer    des études de médecine.
    Je rencontrai tm mouvement  spirituel, où je trouvai la confirmation de ce que je
pressentais : il existe un chemin vers une nouvelle conscience, une conscience supérieure. La
nature toute entière attend et espère qu'enfin, l'homme comprenne, et rejette les chaînes qui
enserrent sa conscience. Partout où une lumière apparaît, il y a une ombre. Et la force qui se
tient derrière l'informatique, c'est cette ombre, une force qui nivelle la conscience, fait
disparaître la mémoire, nous transforme  en des automates, des robots sans âme. Le coeur de
l'ordinateur, la « puce » informatique, est un cristal de quartz, du silicium fondu avec des
métaux et des  terres rares comme le germanium.  Cela s'appelle du silicium «dopé ». Le
silicium dopé  est gravé très finement, pour qu'un réseau de fils conducteurs très fin recouvre
toute sa surface. Autour de la puce il y a un réseau de fils en or massif. Le plus grand
consommateur   d'or au monde, c'est en 2004 l'industrie informatique. Le cristal de quartz
dopé  est  maintenu en vibration à une vitesse incroyable, plus de 3 milliards de vibrations par
seconde  pour les ordinateurs les plus récents. La puce informatique est une sorte d'ersatz de
notre intelligence logique : on pose un problème en mettant sous tension certains des fils d'or
qui entourent le cristal de quartz, et là solution du problème apparaît sur certains autres fils
d'or. C'est cette intelligence artificielle que l'on met à profit dans des programmes
informatiques. Mais,  si l'ordinateur crée une illusion d'intelligence, c'est parce que les
cristaux de quartz qui le forment sont eux aussi habités par de petits êtres. La puce
informatique est un talisman magique, un objet créé pour emprisonner certains des êtres
invisibles habitant dans les rochers. Dès qu'une puce est mise sous tension, s'en est fait des
petits êtres. Ils sont pris au piège, et forcés, de travailler pour leur nouveau maître. C'est
l'intelligence de ces êtres qui est exploitée par un piège électromagnétique démoniaque : le
microprocesseur.  Leur intelligence est canalisée, par les impulsions électriques de la puce,
elle doit servir des intérêts qui ne sont pas les leurs. Parfois, ils parviennent à lancer un SOS,
une bouteille à la mer, se traduisant par un des « bugs » ou des « plantages »
incompréhensibles  que  les informaticiens connaissent bien. Mais, le système de l'ordinateur
est pensé pour un enfermement total,  Par le viol mental des petits êtres des pierres, le
territoire de là puce gagne du terrain. Les puces sont partout autour de nous. Il y a des
microprocesseurs  dans les machines à laver, dans les réfrigérateurs, dans nos voitures, dans
les téléphones portables, dans les cartes bancaires, dans les serrures de sécurité, dans les
parois de béton des tours, sous la peau de nos animaux domestique, et bientôt sous la notre.
L'implantation d'une puce informatique aux chevaux sera obligatoire en 2007.  Les hommes
suivront sans doute peu après. Le territoire gouverné par la puce où il n'est plus possible de
vivre sans l'informatique couvre déjà une grande part des Etats-Unis. Et les nouveaux
propriétaires, ne tarderont pas à réclamer leurs impôts !
     Pourquoi les puces informatiques désirent elles tellement s'implanter dans notre corps?
Parce que la technologie informatique est étrangère à notre terre. Les puces sont les
manifestations visibles d'envahisseurs invisibles, d'ennemis de tout développement de la
conscience. Le véritable propriétaire : du champ terrestre, c'est l'esprit de la nature. Notre
corps lui-même   ne nous appartient pas, mais appartient à l'esprit de la nature. La chair dont
notre corps est constitué est formée par la nourriture que nous absorbons, par la chair d'autres
êtres vivants et par les plantes, et en définitive provient des rayonnements du soleil, de la
lune et des étoiles. On peut voir notre chair comme un concentré d'étoiles. Quand la terre elle

même  se nourrit des étoiles, se forme un cristal de quartz, un corps transparent comme la
voûte  étoilée. Quand le corps se nourrit de la lumière du soleil, un petit quartz se forme en
lui.Tout ce qui se passe dans la chair des animaux, comme dans la chair des hommes, est très
important pour notre conscience.  C'est pourquoi, pour les amérindiens, la chair de l'animal
relie: au pouvoir de l'esprit guide, de l'animal totem.
Manger  la viande de l'animal totem est un acte rituel: l'animal doit lui-même s'offrir en
sacrifice devant le fusil.
La chair d'un animal est pleine de la lumière des étailes.Ce n'est : pas qu'une poésie, c'est
aussi une réalité ! Il y a au centre du cerveau une petite glande qui joue le rôle de porte
d'entrée pour lés rayonnements: C'est la pinéale. Cette glande réagit immédiatement à toutes
les impressions lumineuses et les rayons. C'est comme un petit cristal de quartz que nous
portons dans la tête. Lorsque nous nous exposons aux  chauds rayons du soleil sur une plage
de I a Côte d'Azur, la pinéale, elle, n'est pas en vacances. Elle commence immédiatement à
sécréter une hormone, la mélatonine, qui va adapter notre organisme aux rayons, solaires,
causant entre autres le bronzage que nous apprécions tant. Mais la pinéale est aussi la
montre  à quartz biologique, qui règle la « fréquence d'horloge » du corps. Vous savez peut
être que, dans un ordinateur, c'est un cristal de quartz qui fournit la fréquence de base
entraînant tous les composants informatiques.C'est ce qu'on appelle la «fréquence d'horloge
». Plus elle est élevée, plus votre ordinateur, est performant. Mais la fréquence de base d'un
ordinateur, environ 2 à 3 milliards de cycles par seconde, n'a plus rien d'humain. C'est une
fréquence anti-vie, néfaste, pour les cellules vivantes, et surtout pour la glande pinéale, la
glande  la plus sensible aux rythmes et aux fréquences.
    Normalement, la glande pinéale renferme des petits cristaux de quartz composant une
représentation miniature de tout l'univers, de tout le cosmos. C'est un cosmos en réduction
que nous, portons en  nous même.  C'est pu ces cristaux de quartz que notre conscience
évolue, effectue des prises de conscience.
Mais la puce (vous l'avez déjà compris!) c'est une imitation de la glande pinéale, une
construction magique destinée par les forces de l'ombre à contrôler tot2lement la pinéale, et
donc notre conscience.  Vous avez certainement, déjà remarqué comme   l'on devient stupide
face à un ordinateur,  combien on perd la mémoire. Et bien, c'est une application pratique de
la magie noire de la puce informatique : la prise de contrôle totale de la conscience. Les
forces derrière l'informatique ont dit « non » à la nouvelle conscience, parce qu'elles savent
que le développement de, cette nouvelle conscience signifierait leur disparition.
Le plus incroyable, c'est que cette action de l'informatique sur la pinéale est bien connue du
monde   médical. On a prouvé par des études cliniques que la sécrétion de mélatonine par la
pinéale est complètement  changée après quelques heures de  travail sur ordinateur. Les
enfants qui passent plus de 20 heures par semaine sur internet ont un rythme de sécrétion de
mélatonine totalement  pathologique et anormal. Mais,  comme le  lobby de l'informatique est-
incomparablement   plus fort que celui des rares scientifiques étudiant la sécrétion de la
glande pinéale, ces études ne sont pas du tout diffusées et restent dans les tiroirs.
    Une nouvelle conscience  conduirait infailliblement à refuser l'ordre social tel qu'il est, car
cet ordre social n'est ni plus ni moins qu'une imposture généralisée. Les forces noires nous
ont achetés avec l'illusion de l'informatique et du confort moderne, comme les indiens ont
été achetés par les colons européens au prix de quelques verroteries. Les territoires qui
devraient nous revenir nous ont été spoliés. La vraie connaissance intérieure, qui conduit à la
connaissance  de la nature et des Dieux, est remplacée par la barre d'outil du moteur de
recherche «  Google »... En Europe, nous n'avons même   plus de «réserves de chasse »
comme   les amérindiens. Tout devra se plier à la loi informatique, et au besoin on ira jusqu'à
nous implanter des puces électroniques dans le cerveau, pour vérifier si on pense
conformément   à l'ordre établi.Et à ceux, qui persisteront dans une pensée « hérétique », on
réservera le même  sort qu'aux Cathares du XIIIe siècle : l'emmurement  ou lé bûcher_
Comme   nous  vivons une  époque  moderne, ce sera un emprisonnement  psychique !  Nous
continuerons à être productif... mais avec un cerveau réduit à l'état de zombie.
    Les forces obscures, de l'informatique ont pour but de transformer la lumière en noirceur.

Derniers commentaires

26.04 | 08:47

05.10 | 19:00

03.10 | 09:36

Partagez cette page